L’être HPI, quand il est mal, ne sait pas la plupart du temps pourquoi il l’est. C’est factuel ! Il peut n’y avoir aucune cause ayant déclenchée cela et donc aucune justification. Et c'est souvent le cas ...
Et pourtant son cerveau, tournant toujours à 200 à l’heure (et encore plus dans ces cas-là), va encore plus le faire ruminer à chercher la moindre faille, explication de comment on en est arrivé là,…
Quand j’en ai conscience, la seule chose que j’arrive à dire, c’est : Je me suis perdu ! ou Vous m’avez perdu !. Et le problème est que personne dont le principal concerné n’a le chemin pour le ramener ... le ramener où d’ailleurs ?! Dans le monde « normal » ? « vivant » ? réel ?…
Alors le problème est que physiquement, il est là mais mentalement !? Ben il est également présent ! Malgré qu'il aura 99% de son cerveau occupé sur quelque chose à des années-lumière de la situation présente, il gardera toujours suffisamment de ses sens en éveil pour pouvoir réagir si on l’oblige à se sortir de son occupation intérieure. Bien souvent le problème est que ça se ressent quand-même. On semble ailleurs. Mais au final, ça passe* et on peut repartir au fin fond de notre mal-être intérieur.
Le plus terrible pour moi (mais je ne crois pas être le seul HPI ainsi), c'est le yoyo émotionnel qui peut intervenir. On peut passer en quelques secondes d'un état "up" à un état "down" et toujours parfois sans aucune raison extérieure et parfois même intérieure. Ces états transitoires peuvent apparaître tellement souvent, qu'extérieurement cela peut limite passer pour de la bipolarité ! On m'a déjà soigné pour cela avant que découvre ma douance ! C'est là qu'on se dit que soit c'est vraiment un "phénomène" très complexe soit les psy (-chologues comme -chiatres,...) sont mal formés ou pas assez sur ce sujet ou au moins sur les risques associés aux spécificités des HPI !
* Comme le "Comment ça va ?" du matin que la bienséance semble nous obliger à demander mais pour lequel au final personne n'attend vraiment de réponse. Car bien trop souvent si on avait pris le temps de regarder sont interlocuteur, on se rendrait compte que déjà quelques signes extérieurs laissent présager que ça va pas ...
Alors le problème est que physiquement, il est là mais mentalement !? Ben il est également présent ! Malgré qu'il aura 99% de son cerveau occupé sur quelque chose à des années-lumière de la situation présente, il gardera toujours suffisamment de ses sens en éveil pour pouvoir réagir si on l’oblige à se sortir de son occupation intérieure. Bien souvent le problème est que ça se ressent quand-même. On semble ailleurs. Mais au final, ça passe* et on peut repartir au fin fond de notre mal-être intérieur.
Le plus terrible pour moi (mais je ne crois pas être le seul HPI ainsi), c'est le yoyo émotionnel qui peut intervenir. On peut passer en quelques secondes d'un état "up" à un état "down" et toujours parfois sans aucune raison extérieure et parfois même intérieure. Ces états transitoires peuvent apparaître tellement souvent, qu'extérieurement cela peut limite passer pour de la bipolarité ! On m'a déjà soigné pour cela avant que découvre ma douance ! C'est là qu'on se dit que soit c'est vraiment un "phénomène" très complexe soit les psy (-chologues comme -chiatres,...) sont mal formés ou pas assez sur ce sujet ou au moins sur les risques associés aux spécificités des HPI !
